dimanche 6 décembre 2009

Doit-on souffrir pour changer !

Chacun de nous a sa façon de réagir face aux changements. En effet, nous n’avons pas le même rapport face aux transitions qui s’opèrent dans notre vie, c'est-à-dire ce qui peut être déroutant pour certains, peut paraître pour d’autres des peccadilles, alors qu’il en est autrement ! Nous réagissons différemment en fonction de notre propre histoire, de nos blessures…..

Il est donc essentiel de prendre conscience que le changement pour certains s’effectue dans une grande douleur, et c’est un paramètre à ne pas négliger !
Les raisons peuvent être variées, par exemple pour certains le manque de confiance peut être un frein au changement et provoquer des grandes souffrances qui se manifestent à travers les émotions telles que la peur, la frustration, la colère, la peine, la tristesse…… il serait important dans un premier temps de ne pas les analyser, ni de les décortiquer, car cela risquerait d’augmenter sa souffrance, mais de simplement prendre conscience que les émotions sont là pour nous donner de précieuses informations sur notre fonctionnement et ensuite passer à l’action.

Mais avant de passer à l’action, il est indispensable de baliser sa route pour avancer pas à pas vers ses objectifs que l’on aura au préalable définis. À cet effet, l’environnement sera le premier élément essentiel à prendre en compte pour atteindre ses objectifs, d’où l’importance d’élargir son réseau au-delà de la sphère familiale. Un environnement positif, qui vous tire vers le haut, et qui vous soutient même dans les moments difficiles, et sans vous abandonner au moindre trébuchement !

En second lieu, il sera nécessaire de faire un bilan de ses capacités, pour harmoniser les changements, qui sont incontournables dans les cycles de notre vie. Chaque événement important dans notre vie que ce soit d’ordre professionnel (emploi, création d’entreprises, perte d’emploi….), personnel (mariage, deuil, naissance…), ou familial (famille recomposée, adoption….) Nécessite d’actualiser, ses savoirs faire, et savoirs être pour ne pas être dépassé par les événements. L’intérêt n’est pas purement matériel, il est aussi d’ordre spirituel, car tout changement est en quelque sorte un perpétuel recommencement, c'est-à-dire mourir pour renaître.

En conclusion, le changement n’est qu’un passage qui nous mène d’un état à un autre, et parfois ce passage peut être douloureux en fonction du manque de bagages que nous transportons. Ces bagages sont la confiance en soi, l’acceptation, le soutien, l’amour, le lâcher-prise, la responsabilité, l’autonomie…. À chaque fois, que nous augmentons nos bagages, nous diminuons notre souffrance face aux changements. Et comme le changement est inévitable, autant apprendre à mieux s’équiper pour entreprendre de nouveaux voyages. Alors, n’hésitez pas à apprendre de nouvelles stratégies qui vous serviront à faire face aux événements, et surtout dans l’atteinte de vos objectifs de vie ! En effet, celui qui n’accepte pas de changer risque de souffrir, ou d’être dans une posture de victime, car accepter tout changement, c’est se protéger du désespoir, de la dépression, du mal-être ! Autant vivre une vie épanouie, en acceptant le changement qui existe depuis la création de l’homme !

samedi 31 octobre 2009

développer son esprit critique !

Avez-vous déjà eu le sentiment de ne pas avoir été respecté, et surtout incompris par rapport à ce que vous êtes ?
Ou d’avoir ressenti de la frustration, de la peine, un sentiment d’impuissance après n’avoir pas respecté vos besoins de sécurité, paix, bien-être…. ?
Développer son esprit critique possède des avantages non négligeables. En premier lieu, il nous protège des agressions extérieures, tel un garde de fou ! En effet, nous ne sommes pas à l’abri des jeux de manipulations qui nous affaiblissent de l’intérieur et nous privent de notre propre pouvoir. Mais attention à ne pas sombrer dans l’hyper vigilance ! Sinon nous risquons d’être figés dans des comportements inappropriés.
À travers cet esprit critique, nous allons délimiter nos frontières qui paradoxalement sont essentielles pour progresser. En quelque sorte, nous allons fixer des limites claires qui s’opèrent à travers l’auto observation, la réflexion. Elles vont être définies selon ses propres critères, d’où l’importance de connaître ses besoins qui ne sont pas identiques d’un individu, à un autre. Par contre, les questionnements restent pratiquement les mêmes : comment je me définis en tant qu’individu ? Quels sont mes besoins ? A quoi je dis oui, et à quoi je dis non ?....Ces limites ont un rôle de protection, et balisent la route pour avancer tout en élargissant pas à pas sa zone de confort pour pouvoir développer de nouveaux potentiels pour évoluer.
Il est donc important d’identifier ses besoins qui contribuent à notre épanouissement. Pour cela nous allons apprendre à nous écouter à travers nos émotions de joie, tristesse, colère, peur, peine, frustration… Chaque émotion décodée va nous rapprocher de notre être, et comme un enchantement élever notre niveau de conscience. Un niveau de conscience qui libère d’une souffrance inutile, et qui nous réconcilie avec toutes les parties de notre être. Car chaque besoin identifié, respecté, augmente notre confiance en soi et en même temps, influe sur notre niveau d’intégrité. On devient son propre allié pour avancer vers ses objectifs de vie tout en étant conscient de ses limites.
La confiance en soi est la clé qui nous ouvre toutes les portes qui mènent vers la réussite. Sans confiance en soi, nous ne pouvons prendre pouvoir sur sa vie. La confiance en soi, c’est cette voie, intérieur qui résonne en nous, à travers des pensées positives qui influent sur notre comportement. En quelque sorte un coach intérieur, qui nous guide dans nos épreuves au quotidien, sans tergiverser, ni se lamenter face aux difficultés. Prendre conscience de ses limites pour pouvoir élargir « le champ du possible », tout en respectant sa personnalité, sinon nous risquons de générer de la souffrance qui se traduit souvent par des émotions négatives.
D’où l’importance de développer son esprit critique qui va se mettre en place comme un filtre face aux événements extérieurs, pour ne pas laisser place au doute, la confusion sur ce que vous êtes. Car remettre en cause sa personnalité est destructif. Prendre conscience que changer un comportement n’est pas changer sa personnalité, sinon nous risquons de déconstruire au lieu de construire. Donc, construisons à partir de soi, en prenant en compte les changements à opérer sans vouloir remettre en cause sa personnalité à la moindre influence extérieure. Mais pour cela il est primordial de se faire confiance et ne jamais transgresser ses propres limites qui doivent être reconnues par soi, et transmises verbalement aux autres. C’est comme respecter le Code de la route, qui n’est pas modifié en fonction des événements extérieurs. Il reste pratiquement le même, et surtout respecté par tous, et c’est ce qui nous permet de circuler librement et donc d’assouvir un besoin essentiel qui est de se sentir en sécurité, et ainsi avancer vers ses objectifs de vie !

mardi 20 octobre 2009

l'épreuve de l'amour !

Chaque individu a besoin d’aimer ou d’être aimé par ses proches, et surtout de vivre, de partager dans les meilleures conditions ! Grâce à ce plein d’énergie, nous aidons l’enfant qui est en nous à grandir, dans une atmosphère chaleureuse, et paisible au travers des rencontres extérieures qui fortifient notre être.
Aimer est tellement évident que nous oublions d’exprimer notre amour à ceux que nous aimons ! Dans la pyramide de Maslow, le besoin d’être aimé apparaît en troisième place, après le besoin de manger, de se vêtir, de se protéger... Il contribue à notre équilibre, d’où l’intérêt de ne pas négliger ce besoin, lorsqu’il se fait sentir !
Lorsque nous aimons de façon inconditionnelle, notre personnalité s’unifie dans une paix retrouvée. Nous regardons les choses qui nous entourent différemment, comme si notre perception se renouvelait au contact des êtres que nous aimons. C’est toute la dimension du cœur, qui nous permet d’aimer dans la différence en étant proche à partir de nos ressemblances.
En revanche, il peut être aussi source de souffrance, lorsque cet amour se transforme en dépendance excessive. Car aimer, ne veut pas dire se sacrifier pour recevoir ! Ou bien dépendre des autres, jusqu’à s’aliéner une partie de soi, par peur d’être abandonné, ou rejeté ! C’est avant tout s’aimer, pour pouvoir donner, sans attendre, et s’aimer dans l’imperfection de son être pour accepter l’autre avec ses imperfections. S’aimer c’est aussi pardonner ses erreurs pour ne pas sombrer dans la culpabilité, et en même temps, élever son seuil de tolérance face aux erreurs des autres pour ne pas dévier vers l’indifférence qui est parfois le reflet de son propre égoïsme. Nous devons composer avec ce que nous sommes, et cheminer avec les êtres que nous aimons tout en respectant le rythme de chacun, sans oublier aucune partie de nous.
L’idéal serait d’aimer en étant paradoxalement détaché de toutes passions pour ne pas sombrer dans l’excès. Aimer est vraiment un acte de libération, lorsqu’il est tempéré, car la force de nos sentiments ne se mesure pas à l’intensité de nos émotions. Au contraire, l’excès ne peut réellement nous apporter la plénitude. Il ne peut que nous enchaîner dans la dépendance, la frustration, la tristesse… Notre défi sera réellement de trouver l’équilibre dans cet amour, mais sans jamais en être avili pour pouvoir devenir des êtres libres et responsables : en quelque sorte des adultes !

mercredi 8 juillet 2009

Etes vous à l'écoute des autres ?

Avez-vous déjà eu l’impression de ne pas être écouté dans les moments importants ?
Ou d’avoir le sentiment d’être interrompu dans votre lancée, alors que le besoin de parler n’était pas complètement assouvi ?
L’écoute semble prendre une place fondamentale dans notre existence. En effet, elle est indispensable pour résoudre un problème, réconforter dans les moments de détresse, ou tout simplement apprendre à connaître l’autre dans sa globalité !
Les grands spécialistes de la communication ont tout compris, et connaissent les rudiments de l’écoute verbale et non verbale qui est l’expression corporelle, dont on peut le voir auprès des politiciens, acteurs, coach, thérapeutes, journalistes… qui ont l’art de communiquer !
L’écoute est un processus conscient qui demande un effort de maîtrise de soi. Parfois, il est difficile d’écouter dans les moments de conflits, de confrontation, alors que souvent la personne après avoir parlé s’apaise.
Ecouter exige aussi une grande maturité émotionnelle, car cela nous oblige à nous décentrer de nous-mêmes, surtout lorsque les enjeux sont importants !
Ecouter c’est aussi pouvoir poser des questions pertinentes dans les moments opportuns qui l’aideront à avancer dans sa problématique, tout en préférant les questions qui commencent par le comment est-ce….. ? et qu'est-ce qui…… ? À la place du « pourquoi tu… ? Qui oblige à se justifier alors que souvent, la personne n’a pas de réponse.
C’est aussi se taire, et laisser place au silence pour pouvoir l’accompagner dans l’expression de ses émotions ou sentiments !
C’est aussi un acte de générosité, et cela nous apprend l’humilité qui est indispensable pour se détacher de son propre égoïsme ! Et accepter que l’autre puisse être aussi important !
C’est un art que nous devons réapprendre dans un environnement où le silence est parfois absent !
C’est aussi comprendre qu’il n’est pas toujours nécessaire de combler les moments de silence, alors qu’ils sont indispensables à la réflexion !
C’est aussi faire une pose, et de ne pas attendre que la personne est finie pour lui dire « mais je pense, que » ou « tu devrais faire… », alors qu’elle ne nous a rien demandé, juste une écoute bienveillante !
C’est prendre du recul sur ce que l’on ressent au moment où on écoute, c'est-à-dire se distancier par rapport à ce qui est dit, sans le prendre pour soi, afin de rester concentrer sur l’autre !
C’est adopter un comportement chaleureux pour que l’autre puisse se sentir en sécurité ! Et l’aider à exprimer des sentiments et émotions dans un environnement de confiance qui favorise l’échange !
C’est donner de son temps et comprendre que la personne a besoin de ce temps pour se développer !
C’est simplement apprendre à lâcher prise pour que l’autre puisse trouver un réconfort immédiat, car l’écoute apporte une libération qui est source de paix et de bien-être !
Au final, écouter c’est légitimer nos besoins d’exister au sein de notre environnement. Car il arrive qu’un de nos besoins ou désirs soit refoulé et se manifeste par l’envie d’être écouté pour pouvoir lui donner toute sa place dans le respect et dans la dignité de l’être.

lundi 22 juin 2009

Developpez votre potentiel !

Nous avons tous en nous un potentiel, des talents cachés à développer. Selon les statistiques nous utilisons seulement 10 % de notre capacité cérébrale ! Alors, comment expliquer que certaines personnes, réussissent avec les mêmes moyens, alors que d’autres peinent pour y arriver ! Est-ce vraiment une question de capacités intellectuelles ?
Il y a quelques années, j’ai lu un très bon livre qui s’intitule l’intelligence émotionnelle de D.Goleman! L’auteur disait que ceux qui réussissaient le mieux semblaient être des personnes qui avaient développé des qualités dont notamment l’empathie, la pleine conscience de soi, la confiance, la maîtrise de soi, l’assurance, etc. Alors que ceux qui avaient brillamment réussi à l’école et qui n’avaient pas développé leur intelligence émotionnelle avaient quelques difficultés à réussir.
L’intelligence émotionnelle est aussi appelée cerveau émotionnel, c'est-à-dire l’hémisphère droit. Elle contribue favorablement au développement de notre potentiel. Il ne suffit pas d’être doué de raison. Nous avons besoin des deux pour nous construire et vivre en société. Car nos qualités vont nous permettre de faciliter l’émergence de notre potentiel pour atteindre nos objectifs que nous aurions au préalable définis.
Il est aussi important de noter que pour développer son potentiel, la conscience de qui nous sommes est nécessaire pour savoir ce que nous voulons dans notre vie ! C’est la fameuse phrase de Socrate, connais-toi toi-même ! Cela part de soi pour aller vers le monde extérieur, et non le contraire !
Apprendre à utiliser nos émotions positives, peut nous faciliter la voie vers l’émergence de notre potentiel. L’enthousiasme est l’une des voies qui est empruntée, pour enjamber les obstacles et comprendre nos freins qui parfois nous ralentissent dans notre construction. C’est tout le travail du coach qui accompagne son client à développer son potentiel latent. A l’image du cultivateur qui travaille la terre, avec des outils appropriés, son savoir-faire, et son savoir être (questionnements, écoute active,….). Il déploie toute son énergie pour fortifier la terre, et focalise son attention à tout ce qui peut faire obstacle à la culture.
En quelque sorte, le coach aide son client à développer son enthousiasme en le connectant à ce qui le porte réellement pour débloquer l’énergie et augmenter sa motivation. Sans énergie, il est difficile d’atteindre ses objectifs ! On peut dire que les émotions positives sont une forme d’énergie qui nous aide à développer de nouvelles ressources. C’est une vraie alchimie qui s’opère à l’intérieur de nous pour nous construire vers l’extérieur.

mardi 16 juin 2009

Le sens de la responsabilité

Notre défi aujourd’hui, est de devenir entièrement responsable de notre vie. La responsabilité découle d’un long travail sur soi. C’est un travail qui demande avant tout de prendre conscience que nous pouvons décider de ce que nous voulons faire de notre vie. C’est en quelque sorte apprendre à se faire confiance et de ne pas dépendre des autres quelques soient les situations, c'est-à-dire ne pas se positionner en victime. C’est aussi apprendre à se définir en tant qu’individu libre. C’est vraiment un état d’esprit qui peut être modelé !
Être responsable ne veut pas dire, se sacrifier ou penser que ce que nous vivons est la faute des autres ou de quelconques circonstances extérieures. Mais prendre conscience que notre responsabilité découle réellement de notre libre arbitre, qui nous préserve du fatalisme. On est née libre d’agir en toute conscience dans la voie que nous avons décidé de choisir. En d’autres termes, nous avons le pouvoir de rendre notre vie harmonieuse, si nous décidons de prendre toute la responsabilité qui inclut aussi l’acceptation des épreuves que nous vivons dans notre quotidien.
Être responsable c’est aussi, ne pas se faire de reproche au moindre faux pas, et ne pas baisser les bras à la moindre difficulté ! C’est être toujours à la recherche de solutions si le besoin se présente, et c’est aussi être dans l’acceptation des événements qui nous dépassent.
Être responsable demande un effort de tous les jours, cela exige de la pratique, et nous pouvons tous apprendre à devenir autonomes. On ne naît pas responsable, on le devient à force de pratique.
Être responsable c’est faire face à toutes les situations que l’on peut rencontrer dans sa vie. Ce qui est paradoxal, c’est que la responsabilité exige un effort sur soi ; mais en même temps, cet effort est source de libération, car il nous rapproche de nos projets de vie.

mardi 3 mars 2009

Le coaching autour de la diversité culturelle

Aujourd’hui nous pouvons voir naître des projets autour de la diversité culturelle, du vivre ensemble, de la cohésion sociale, de l’égalité des chances, car ces paramètres sont essentiels dans une société multiculturelle. Le marché est florissant, et même quelques entrepreneurs et expatriés décident de s’installer dans les pays du Maghreb ou Moyen-Orient. En France, des jeunes de cette diversité se lancent dans la création d’entreprise, et d’autres intègrent des entreprises prestigieuses. Tout autour se développent des réseaux sociaux, des cabinets de recrutements spécialisés dans la diversité culturelle. Aussi, nous voyons émerger des besoins de consommer des produits halals. À cet effet, quelques entreprises se sont lancées dans la commercialisation de ces produits qui représentent une grande part de leur chiffre d’affaires. D’autres entreprises se créent autour de ces besoins dont notamment des restaurants, boucheries, des taxiphones, des librairies, et même des boutiques de vêtements adaptés au style de chacun.
Dans la sphère plus privée, des couples mixtes se sont développés et des besoins et des attentes ont émergé, notamment les questions liées à l’éducation des enfants.
Cette question de la diversité ne me semble pas inconnue, j’ai toujours baigné dans cette atmosphère, et pour moi c’est une force que je souhaite partager avec vous. En effet, possédant moi-même les deux patrimoines culturels, j’ai développé des compétences interculturelles depuis mon jeune âge. Les deux cultures (franco-maghrébine) cohabitent ensemble, sans altérer ma personnalité. Au contraire, cela m’a permis de développer une très grande intuition, des capacités d’adaptation, de l’empathie, une grande ouverture d’esprit, et de l’écoute active. Je comprends d’une part les problématiques, les forces et avantages de cette diversité, les us et coutumes, les messages verbaux et non verbaux, les croyances. Et d'autre part, ayant vécu quelques années au Maghreb, j’ai acquis une connaissance de l’environnement et de ses codes sociaux qui sont influencés par la culture arabo-musulmane. J’ai aussi, étudié pendant plusieurs années les différents courants de pensée, la jurisprudence, qui ont influencé les régions du Moyen-Orient.
De plus, je mets à votre disposition pour vous accompagner vers vos objectifs, tout un savoir-faire que j’ai acquis lors de ma formation de coach.
Vous souhaitez développer votre potentiel, augmenter votre confiance, atteindre vos objectifs, ou acquérir des compétences interculturelles sans altérer votre personnalité, ou tout simplement équilibrer votre vie. Vous pouvez me contacter au 06 63 64 43 05 ou sur skype, ou via ma messagerie.

dimanche 1 mars 2009

Il y a un royaume en nous à explorer !

Il était une fois un royaume (l’être humain) avec son roi ou reine (essence, esprit, âme, intellect,….), et ses princes et princesses (identités), entouré de ses soldats (valeurs, besoins), qui protégeaient le royaume. Ce royaume était entouré d’une forteresse, qui donnait au monde extérieur par des petites fenêtres (croyances) et des portes blindées (convictions). Les fenêtres étaient parfois doublées d’un vitrage, et certaines on pouvait apercevoir l’intérieur du royaume, et d’autres qui paraissaient plus opaques, où la lumière ne semblait pas y entrer.
Les soldats (valeurs, besoins) utilisaient les messagers (émotions : colère, tristesse, joie, peur…) pour transmettre un message aux différents royaumes, lorsque le roi sentait le besoin de se protéger, ou de se développer. Parfois, les messagers, ne remplissaient pas leur rôle, parce qu’ils n’avaient pas été formés ou tout simplement ne comprenaient pas le sens du message. À certains moments, ils leur arrivaient de rencontrer d’autres messagers, ce qui compliquait leur tâche. Ils devenaient confus, et ne savaient plus distinguer leur propre message. Aussi, ils aimaient prendre les enfants du royaume pour transmettre des messages aux royaumes amis (es), et épouse…. Mais, les enfants avaient une fâcheuse manie de les perturber, ce qui avait comme conséquence l’exagération du message. Lorsque c’était délicat, les messagers étaient accompagnés d’adultes, car ils savaient communiquer sans excès au roi collègue, roi professeur…, et ne se laissaient pas départir lorsqu’ils avaient en face d’eux des obstacles. Ils les enjambaient plus facilement que les enfants ou les parents qui étaient très sermonneurs. Certains jours, ils revenaient sans avoir transmis leur message et décidèrent de le refouler dans un endroit bien secret. Mais, au bout du compte, ils n’avaient pas d’autres choix que de l’expédier, car les soldats devenaient de plus en plus pressants. Alors, ils prenaient leur courage à deux mains et foncèrent vers leurs cibles.
Les messagers pour circuler utilisaient des voies à double sens (VAKOG), la voie Visuelle, Auditive, Kinesthésique, Olfactive, ou Gustative. Ils aimaient prendre une parmi ces quatre voies qui leur semblaient plus rapides, mais ils les utilisaient toutes.
Le roi était généreux, et aimait distribuer ses richesses (qualités, compétences, savoir-faire, savoir être, ….) à son peuple (parents, enfants, et adultes). D’ailleurs, il remettait à chaque enfant des qualités de créativité, spontanéité, humour, et intuition. Les parents, c’était plutôt la sécurité, la bienveillance, mais ce qui ne les empêchaient pas d’être sermonneurs et parfois râleurs.
Le roi ne laissait pas passer des étrangers dans son royaume, sauf, les plus intimes. Il semblait être très protecteur. Les vivres (réflexion, apprentissage, analyse, méditation, spiritualité….) passaient à travers les portes, et fenêtres pour nourrir tout le royaume. Cette nourriture permettait aux peuples d’avoir de la force (motivation, ambition, rêve…) pour se construire (action, objectifs, challenges….) à l’intérieur du royaume et s’étendre à l’extérieur. Ils avaient besoin de lumière pour vivre (la foi, transpersonnel ….), qui donnait de l’énergie à tout son royaume. Le royaume pouvait être obscurci par des nuages (les états d’âme, zones d’ombres…), mais le roi pouvait compter sur ses adultes pour temporiser les esprits. Les enfants consommaient beaucoup d’énergies. Alors, le roi fit construire un réservoir d’énergie (spiritualité, lecture, contact avec les autres peuples des différents royaumes, vie de couple, réussite, humour, amitiés, etc.…) qui permit à son peuple de s’alimenter lorsque le besoin se faisait pressant.
Lorsque le royaume était éclairé, le roi pouvait apercevoir des trésors cachés dont il n’avait jamais soupçonnés l’existence, dont Il prit soin de ranger.
Le roi avait dessiné sa propre carte de son territoire (pnl), pour aider son peuple à communiquer avec le monde extérieur. Tous les royaumes avaient leur propre carte et pas question de la lire si on ne lui donnait pas l’autorisation.
Le roi aimait remettre les affaires de son royaume à l’adulte, car il le savait responsable, autonome. Mais l’adulte avait besoin de l’enfant pour l’esprit de créativité, et du parent pour le protéger.
Le roi avait un trésor en lui qu’il n’avait pas encore partagé (le potentiel latent, talents cachés….). Il avait besoin de plus d’adultes au sein de son royaume. Et les enfants avaient besoin de temps pour grandir.
Le roi avait aussi au sein de son peuple des parasites, connus de tout le royaume. Ils s’appelaient « le nombriliste », « l’egocentrique », et « le narcissique ». Ils étaient de la même famille. On pouvait les reconnaître facilement grâce à leur langage très éloquent, et ils étaient très bien habillés. Ils prenaient vraiment soin de leur image. Mais, ce qui dérangeait le roi, c’est que cette famille paraissait être un frein à l’expansion du royaume. Ils prenaient trop de précautions pour paraître parfaits, et surtout trop à l’écoute d’eux-mêmes. Ils s’offusquaient très rapidement lorsqu’on les contredisait. Mais le roi connaissait leur ruse. Alors, il décida de les faire sortir du royaume et d’explorer d’autres mondes. Au début, ils paraissaient très frileux et se sentaient en danger. Mais à force de découvrir d’autres royaumes, ils prirent goût et commencèrent à ne pas donner trop d’importance à leur image, et décidèrent même d’aider les autres peuples à se développer. Ils devinrent altruistes, et humbles.
Le roi avait aussi des ennemis «les pessimistes». Ah ! « Les pessimistes, ils gaspillaient beaucoup d’énergies, pour rien ! D'ailleurs, le réservoir d’énergie était pratiquement vide à cause d’eux, et en plus ils contaminaient les autres avec leurs idées noires. Le roi avait plus d’un tour dans son sac. Comme il savait que « les pessimistes » ne voyaient que le bout de leur nez. Il fit appel au roi « optimiste » qui les aida à avancer tout en restant focalisé dans l’instant présent. Ils avaient une mauvaise habitude de ruminer le passé, et au bout du compte, pas du tout productifs. La peur et le manque de confiance, les empêchaient de se projeter dans l’avenir.
Ah ! Le roi optimiste, on pouvait le reconnaître à des milliers de kilomètres. Son royaume resplendissait, il était toujours illuminé. Il lui arrivait parfois de subir des intempéries, mais cela ne durait pas, il savait les gérer. Il avait un peuple très performant, composé de beaucoup d’adultes d’ailleurs !
Le roi optimiste arrondissait les angles, et surtout il pouvait détecter la petite étincelle dans les cœurs des pessimistes qui firent une cure de pensée positive, de re-motivation, de dédramatisation, et de moments de joie dans son royaume. Grâce à cela, leur réservoir d’énergie put se remplir très rapidement. On pouvait rencontrer des rois optimistes coachs, amis(es), ou épouse ce n’était pas incompatible, bien au contraire !
Le roi décida d’aider son peuple à devenir autonome (adulte) pour leur confier les affaires du royaume. Il fit appel aux différents royaumes pour lui donner un coup de main. Par exemple, lorsque les fenêtres et les portes étaient saccagées, et les routes abimées, et que les messagers restaient bloqués dans la circulation. Il faisait appel au roi réparateur (psychologue, psychiatre….) qui aidait les messagers à prendre leurs responsabilités, et de ne pas trop se laisser envahir par les enfants ou les parents, car cela polluait leur message. Le roi réparateur réparait aussi les fenêtres cassées, et les portes abimées. Il avait besoin de connaitre l’historique (le passé), pour que le peuple puisse se prémunir des intempéries pour éviter les gros travaux qui demandaient du temps, et de l’énergie.
Le roi ne savait pas faire tout cela, par manque de connaissance, et surtout il ne possédait pas les outils nécessaires pour réparer. Par contre lorsque le roi réparateur lui montra comment faire, il le fît lui-même. Parfois, le roi réparateur construisit d’autres routes pour aller plus vite, et d’autres fenêtres et portes pour protéger le royaume.
Le roi fit appel à d’autres royaumes, notamment le roi conseiller, ou le roi professeur pour développer de nouvelles compétences et savoir-faire.
Lorsque le besoin d’aider son peuple à grandir se fit pressant, le roi fît appel au roi coach. Le roi coach avait dans son royaume tout un ensemble de connaissances. Il était doué pour aider le peuple de son royaume voisin à grandir. Son rôle était de les accompagner à atteindre leur objectif. À la différence du roi réparateur, il avait besoin d’aider le peuple à rester focalisé sur le présent pour développer la concentration et la motivation. Il savait les projeter dans le futur pour développer l’ambition pour des objectifs à long terme.
Aussi, il accompagnait les enfants à grandir, et les parents à être moins dans la plainte. Mais les parents étaient coriaces, et ils mettaient en place des stratégies pour ne pas changer (freins, peur, sabotages). Mais le roi coach connaissait toutes ces astuces, il utilisait la confrontation quand le besoin se faisait sentir. Les parents étaient aussi très protecteurs auprès de leurs enfants. Alors le roi coach promit aux parents, d’être bienveillant et sécurisant auprès des enfants. Le roi coach était neutre ce qui aida grandement les enfants à grandir très rapidement et de devenir des adultes. Son secret, c’est qu’il leur permit de trouver leurs propres solutions, en testant de nouveaux choix, et ainsi gagner en confiance. Ils pouvaient maintenant voler de leurs propres ailes. De plus, ils firent la découverte qu’ils pouvaient garder en eux, cette part de spontanéité, et de créativité.
Vraiment ! L’objectif du roi était d’agrandir son territoire et de travailler en toute harmonie avec les autres royaumes. Il savait que chaque roi avait sa place dans ce monde.
Le roi quand il vit que son royaume devenait autonome, il commença à distribuer son trésor caché (potentiels, nouvelles compétences….). La force de ce roi fut de croire en son peuple et dans ses capacités à se développer. Maintenant grâce aux autres royaumes, il avait gagné en autonomie. Il pouvait maintenant dormir sur ses deux oreilles.

vendredi 20 février 2009

intuition ou pragmatisme

L’intuition est une notion difficile à expliquer ou à cerner. On l’appelle souvent 6ème sens et parfois ressentie comme un phénomène paranormal pour certain. Pour d’autres, elle est un don, ou un talent.
Le pragmatisme est plus facile à définir. Le pragmatique est carré, son mot d’ordre est l’action.
Être intuitif est essentiel lorsque nous avons du mal à choisir entre deux solutions, dans ce cas de figure, on se laisse guider par son 6ème sens.
Par contre, être trop dans l’intuition peut devenir un défaut, lorsque celle-ci est exagérée. Un intuitif peut devenir un doux rêveur, si ses aspirations ne sont pas tout de suite mises en action. Sinon, il risque de rester dans le monde de l’illusion.
De même pour le pragmatisme, si vous êtes que dans la programmation, vous ne laissez pas place à la spontanéité, à l’enfant qui est en vous. Vous devenez rigide.
On peut constater qu’au bout du compte, l’intuition est un atout majeur, lorsqu’elle est suivie par le pragmatisme, et vice versa. Si on allie, les deux qualités, on développe du charisme.
L’émotion peut être un indicateur puissant, pour nous aider à trouver la voie du juste milieu. Mais attention à ne pas sombrer dans l’exagération, ou le déni. Pour cela nous avons besoin de l’autre, car il est un miroir où se reflètent parfois nos zones d’ombres qui nous apparaissent à travers une gêne, un mal-être, une colère, de l’appréhension face à un certain profil. Ce n’est pas négatif en soi, cette gêne peut nous apprendre beaucoup sur soi. Nous pouvons utiliser le message de changement positif de cette émotion, ou sentiment pour se développer. Par exemple, face à une personne autoritaire, nous pouvons ressentir un mal-être, une gêne. Mais si on regarde de près, on constate peut être que cette personne, nous souhaitons lui ressembler sur ce point-là ou bien on possède cette caractéristique en nous, mais on ne le sait pas. On appelle cela les zones d’ombres, la partie cachée. Grâce à ce ressenti, nous allons travailler sur ce qui nous dérange pour en faire un atout. Lorsque cette gêne disparait, c’est que nous avons mis en lumière une partie de nous. L’intuition peut intervenir dans ce cas de figure, on peut aussi l’appeler discernement. Car ce don permet de percevoir, les choses cachées en nous avec l’aide de l’autre, car il faut qu’il y ait interaction. Le travail ne se fait pas seul, car on peut sombrer dans l’introspection, le contrôle permanent, ou la projection. Rappelez-vous, l’intuition fait appel à l’enfant qui est en vous. Il faut apprendre à désapprendre, à lâcher-prise. En quelque sorte, un travail de polissage pour mieux sentir et percevoir les choses qui sont imperceptibles, si on utilise que notre esprit cartésien.

mardi 3 février 2009

J'ai fait un rêve !

J’ai fait un rêve qui est devenu réalité !
Un rêve où tout est possible, lorsque l’on croit à l’impossible !
Un rêve où le pessimisme disparaît pour laisser place à l’optimisme !
J’ai fait un rêve où la différence sociale laissait place à la richesse culturelle !
J’ai fait un rêve où j’ai pu rencontrer des personnes douées, talentueuses, que peut-être je n’aurais jamais rencontré, si je n’avais pas écouté mon intuition !
J’ai fait un rêve où le savoir-faire se mesure à « sa capacité » à travailler sur soi, et non aux multiples diplômes obtenus qui ne reflètent pas le savoir être de la personne !
J’ai fait un rêve où la croyance « si tu n’as pas fait tels parcours, tu ne pourras jamais choisir le métier que tu veux », est belle et bien une croyance limitante qui peut être vite remplacée par une croyance plus optimiste, « tout est possible, si nous le voulons vraiment » !
J’ai fait un rêve que nous serons toujours des éternels apprentis, et que nous avons tout à apprendre de nous et des autres !
J’ai fait un rêve qu’un jour je serai coach et que j’accompagnerai des personnes de tout environ pour atteindre leur objectif !
Oui, j’ai vraiment fait ce rêve qui est devenu réalité et que je souhaite partager avec vous pour vous accompagner vers un objectif de rêve !
Oui tout est possible, si on se donne les moyens d’y arriver, le plus important c’est de vouloir. Bien sûr avec des actions mises en place, on peut transformer les plus beaux rêves, en des objectifs de vie !
Je vous laisse donc rêver à l’impossible……

lundi 2 février 2009

la gestion du temps

Le temps parfois nous échappe, nous avons l’impression d’être débordés, de ne pas avoir le temps pour soi. Et pourtant, la situation peut être remédiée très rapidement,

Un bon gestionnaire se mesure d’une part, à sa capacité à organiser sa vie vers des objectifs qui le rapprochent de l’essentiel, d'autre part, il a développé une détermination à toute épreuve, qui ne souffre d’aucune condition. Car, l’homme à cette particularité : il oublie, et le temps et là malgré nous pour nous rappeler que notre vie est comptée, d’où l’importance de ne pas s’oublier. Car au bout du compte, le temps aura raison de nous.
Il vaut mieux se prémunir de toutes frustrations et se comporter comme un être responsable qui n’accuse ni les autres ni les circonstances.

Nous devons prendre conscience que nous devons nous arrêter et faire un bilan de sa vie. C’est à dire qu'est-ce qui est important pour moi ? Quels sont les objectifs qui vont me permettre de contribuer à mon épanouissement ? Quels sont les domaines de vie où j’ai le sentiment d’un vide ? Est-ce que ma vie de couple est épanouie ? Est-ce que j’ai du temps pour moi ? Est-ce que je participe à la vie en société ?
Mettre en place des objectifs nécessite une bonne gestion de son temps. Car au bout du compte, on n’échappe pas à l’oubli de soi, si on ne met pas en place des objectifs qui sont définis dans le temps.